Courrier à M. ALBARELLO Député-Maire.

Courrier à M. ALBARELLO Député-Maire.

Monsieur Yves ALBARELLO
Député-Maire
17 bis avenue du Mal Foch
77500 CHELLES

Pomponne, le 12 janvier 2009

Objet : Suite à notre entretien en votre permanence du 19 décembre et votre courrier du 26 décembre 2008

Monsieur Le Député,

Tout d’abord, en vous remerciant de vos bons voeux, je vous renouvelle les miens pour 2009, beaucoup de bonheurs personnels et de satisfaction politique.
Je vous remercie également de l’attention que vous avez bien voulu porter aux difficultés rencontrées à la Pomponnette, notamment :

• les problèmes qui peuvent être liés à la santé des riverains situés sous les lignes à Très Haute Tension, surtout suite à l’information parue dans une revue agricole (copie remise lors de notre entretien) et les indemnités versées par RTE. Je vous rappelle que lors de la restructuration de ces lignes THT fin des années 90, il avait été question de les dériver sur la forêt de l’autre côté de la Francilienne, dans le couloir de la LGV EST ; ce qui aurait évité tout passage au-dessus des maisons. EDF, à l’époque était d’accord mais a rencontré l’opposition du Ministère de l’Environnement (Madame VOYNET). Merci pour votre intervention auprès du Préfet.

• Pour ce qui concerne les nuisances sonores provoquées par les infrastructures qui traversent Pomponne dont la LGV, le résultat des mesures prises par RFF nous a fortement alertés puisque la moyenne des bruits mesurés sur une journée (61 dB en LAeq) atteint quasiment le plafond toléré par les engagements de l’Etat (62 dB en Laeq) et dépasse la nouvelle réglementation de novembre 1999. (cf copie documents RFF remis). Il y a sur la Pomponnette une conjugaison de 2 sources sonores extrêmement polluantes ( la Francilienne et le TGV EST)  – Qui est le plus polluant ? En fait ce n’est pas notre problèmes. Nous souhaitons ardemment la diminution globale des nuisances sonores sur ce quartier.

Pour tous ces points, je reste à votre disposition pour apporter toutes formes de contribution que vous jugerez utile.

Avec toute ma reconnaissance, je vous pris de croire, Monsieur le Député, à l’assurance de mes meilleurs sentiments.

 

Laurence AUDIBERT
Présidente de l’ADSEP